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jeudi 28 janvier 2010

Un froid presque sibérien

Ce matin le thermomètre est descendu à – 8°C avec une bise glaciale qui a soufflé toute la nuit et encore maintenant.

La petite maison dans la forêt

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Les animaux avec leur manteau de fourrure ne montrent même pas qu’il fait très froid et ils batifolent comme si de rien était.

Mais que voit-on dans la pente non loin de la petite maison

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Une très jolie chèvre qui vient se restaurer
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Mais elle n'est pas seule, sans doute avec son compagnon broccard
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Nous on danse sur un pied et sur l’autre, on se tape les mains l’une contre l’autre, le nez dans le col du manteau, les oreilles sous un bonnet de laine et c’est parti avec nos fifilles pour une grande partie de jeu au Frisbee.

Commencement avec Dame Aïcha
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Puis Demoiselle Pearl
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Que c'est drôle d'attendre que les autres arrivent pour finir par s'enfuir avec le Frisbee
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Toute maligne qu'elle veut bien faire paraître, la grande Pearl s'est fait voler son jouet par sa petite soeur Blue
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Tout en narguant sa soeur et sa mère, en attendant c'est toujours elle qui l'a en gueule
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Depuis la terrasse, elle descend au jardin toujours en narguant
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Finalement ce n'est plus si marrant de jouer toute seule
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Alors peut-être quand déroutant la grande soeur elle viendra jouer ?
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Et bien voilà ! Pourvu que le Frisbee tienne le coup
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Qui va céder demoiselle Pearl ou demoiselle Blue ?
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Difficile à deux, gueule dans gueule à la descente de l'escalier
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Pour finir, la petite a lâché prise et la grande est toute fière de galopper jusqu'au fond du jardin avec son Frisbee
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mercredi 27 janvier 2010

Futurs chiots

Lorsque je lis des blogs ou la méthode d’élevage décrite me dépasse, j’en suis ébahie de tout l’investissement mal placé. Toutes ces prises de sangs pour connaître le jour exacte de l’ovulation avant la saillie (il suffit d’abord de noter le 1er jour des taches de sang de la chienne et de compter de 9 à 14 jours pour faire un test de progestérone tous les 2 jours et un frotti) au total 2 prises de sang. Ensuite la chienne va vivre normalement (elle n’est pas malade et au contraire elle pourrait le devenir en la privant de ses activités favorites).

À 1 mois de gestation on peut faire une échographie pour savoir si elle porte des bébés et peut-être connaître le nombre de chiots à venir. Au niveau nourriture son régime augmentera progressivement jusqu’à la mise-bas (on peut donner une nourriture pour chiot afin que les fétus s’habituent déjà dans le ventre de leur mère à ce goût et au moment de la lactation, pour ensuite recevoir cette même nourriture au sevrage). Cette ration arrivera au double de la quantité de départ même jusqu’à triplé afin qu’à la mise-bas on évite, entre-autre, une crise d’éclampsie de la mère. Cette quantité durera pour soutenir la lactation jusqu'au début du sevrage des chiots, ensuite on diminura la ration petit à petit jusqu'à la ration de maintien normal.

J’ai écris tout un chapitre sur ce que le chiot traverse jusqu’à sa venue au monde dans un mensuel Suisse et je vous dévoile ce récit qui est un peu long mais à lire attentivement.

À LA DÉCOUVERTE DE SON FUTUR CHIOT

Grâce à mon expérience personnelle, j’aimerai faire découvrir aux futurs propriétaires ce que vie leur futur chiot avant qu’ils partagent leur existence.

Conception : Les premiers signes de chaleurs chez la femelle destinée à reproduire se manifestent. En principe, 14 jours plus tard elle se fait saillir. Durant un mois de gestations peu d’indices prémonitoires se remarquent sur le corps de la chienne, mis à part des longs moments de repos, si possible, sous les rayons du soleil et un appétit qui commence à s’exprimer. Le deuxième mois de gestation est déterminant par des rondeurs sur les flancs, une certaine fatigue due à cette lourdeur, un appétit féroce et au fur et à mesure du temps, si l’on pose les mains sur son ventre, des petites vagues se font sentir. Il y a de la vie là dedans !

Depuis deux mois au chaud dans le ventre de leur mère, les chiots sont à l’abri, insouciants et pourtant l’histoire de leur vie a déjà bien commencé, tandis que leur mère se prépare à une besogne faramineuse.

La naissance : Le 62ème à 64ème jour de gestation est enfin arrivé et la mise bas va se produire. La veille, la future mère arrête de s’alimenter, elle demande à sortir souvent pour se vider. Le moment crucial est imminente, elle gratte sa couche pour faire son nid et devient visiblement de plus en plus nerveuse. Les contractions toujours plus fortes jusqu’au moment de l’expulsion et voilà le premier chiot dehors enveloppé encore au chaud dans son enveloppe. Instinctivement elle l’ouvre et l’avale jusqu’au cordon ombilical qu’elle sectionne à environ 1 cm du ventre de son chiot. Puis avec frénésie, elle le lèche de toutes parts pour le nettoyer et lui masse le ventre de sa langue douce afin de provoque une déjection d’urine et de selles, fonction primordiale du nouveau né. Et les uns après les autres, à une cadence de 10 min, une demi heure, une heure et parfois jusqu’à deux heures entre chaque naissance, ils sont dehors contre son ventre chaud en suçant un téton bienfaiteur. Enfin elle se détend en prenant quelques repos bien mérité et très fière de la portée qu’elle vient de mettre au monde. Son travail n’est pas terminé pour autant car elle devra gérer ses petits en les nourrissant, en leur faisant très souvent leur toilette jusqu’au moment où ils deviendront indépendants. Puis elle s’occupera de leur éducation.

Les deux premiers sens pour la survie : À la naissance, les chiots sont sourds et aveugles et durant les premiers jours de leur vie, même si le temps se résume à manger et dormir, ces petits êtres doivent apprendre déjà à utiliser leur sens du flair pour se nourrir. Ils doivent trouver l’odeur du lait lorsque leur estomac est vide et c’est la lutte au sein maternel. Même si cela devrait se régler tout seul, les éleveurs attentionnés, viennent souvent à la rescousse en privilégiant les plus petits, ou les plus faibles afin qu’ils aient autant de chance que les plus forts surtout si le nombre est grand (plus de huit). S’il le faut ils les nourrissent à tour de rôle entre les tétées maternelles, au biberon avec du lait de substitution.

L’autre sens est celui de trouver une source de chaleur, le plus naturel est celle de leur mère, mais lorsque qu’elle quitte sa progéniture pour aller faire ses besoins naturels, les éleveurs installent une lampe infrarouge au dessus de la caisse de mise bas ou une plaque chauffante dans le fond de la caisse pour palier au manque. Malgré cela ils cherchent cette chaleur auprès des frères ou sœurs, c’est pour cette raison qu’ils s’agglutinent souvent l’un contre l’autre ou l’un sur l’autre pour former un gros tas de chiots.

Et la lutte continue… : Alors que les jours passent il faut qu’ils se frayent un chemin difficile et faire parfois diverses prouesses et acrobaties afin d’arriver au sein maternel. N’ayant pas la force nécessaire de se tenir sur leurs quatre pattes, ils se déplacent en rampant sur le ventre en tirant avec les pattes avant comme des « larves ». Pour certains le chemin est court lorsqu’ils sont tout près, pour d’autres ayant perdu le sens de l’orientation et se trouvant derrière le dos de leur mère, gémissent de désespoir et d’autres encore, plus agiles, grimpent par le flanc de leur mère et se laissent descendre du bon côté. S’il arrive que quelques chiots soient complètement perdus et afin de ne pas provoquer des soucis à la mère nourricière, les éleveurs viennent au secours des misérables et les dirigent vers le ventre maternel. Pour une certaine sécurité, lors des déplacements de la mère dans la caisse de mise bas, il est installé tout autour des quatre côtés intérieurs de la caisse une protection par des planches où des manches à balais posés sur des cubes en sagex protégés par du scotch de peintre, afin que les chiots puissent avoir un petit couloir et ne pas se faire écrasés entre le dos de leur mère et la paroi de la caisse.

Découverte de nouveaux sens : Vers l’âge de 12 jours leurs paupières se décollent et c’est la vision des choses, même si au départ ils ne distinguent que des ombres à la lueur du jour ou artificielle. Vers 15 jours ce sont les conduits auditifs qui s’ouvrent et c’est la perception des sons. Au début même un bruit incongru ne les fait pas réagir, c’est tout simplement parce qu’ils n’ont pas encore découvert la peur. Jusqu’à l’âge de 10 à 15 jours les chiots ne peuvent pas faire leurs besoins tout seuls, c’est leur mère qui les stimule en leur léchant le ventre et en leur nettoyant les parties intimes. La sensation de caresses par les soins maternels leur déclenche des signes de douceur et d’affection et plus tard les poussent à lécher eux-mêmes tous ceux qu’ils aiment.

Dès lors et les jours suivants tout va très vite. Ils voient « maman la nourrice, la protectrice », puis les frères et sœurs et enfin leurs éleveurs intentionnés. Ils explorent tous les recoins de la caisse de mise bas sans toutefois être très solide dans leurs déplacements. Vers l’âge de 20 jours ils ont pris des forces et tentent de s’aventurer sur leurs quatre pattes et leurs premiers mouvements sont tout d’abord très chancelants. Parfois, ils se retrouvent couchés sur un flanc puis sur l’autre. Parfois c’est la tête qui emporte le reste et c’est des culbutes le nez écrasé sur la couche. Plus tard c’est la tentative du trot et du galop et alors qu’ils ne savent pas freiner, c’est un carambolage sur un frère ou une sœur, même sur leur mère qui les félicite de leur exploit en les léchant.

Début du sevrage : Tandis que leur mère les a alimenté jusqu’à l’âge de 21 jours, c’est le moment pour eux de se nourrir d’une autre façon, d’autant qu’ils ont bien grandi et la place au sein maternel s’est rétrécie, ainsi que le débit. Il est tant aussi de soulager la mère nourricière qui ne peut plus faire face à ses chiots de plus en plus vorace. C’est à cette occasion que les éleveurs interviennent en leur donnant, par petites portions, un apport de lait de substitution durant la semaine qui suit. Ces premiers repas liquides sont une expédition périlleuse parce que laper au lieu de téter n’est pas une évidence. Pour certains ils arrivent comme des petite brutes près du grand plat et tombe le nez dans le liquide, pour d’autres quelque peu maladroit traversent le contenant de part en part et lorsque enfin ils ont compris qu’il fallait laper le contenu ils se retrouvent pratiquement tous embarbouillés de cette substance. Ensuite, avide de cette nouvelle découverte ils se lèchent les pattes, le sol et mutuellement sur le museau. Leur mère qui participe à cette « pataugé » profite, elle aussi, de se délecter de ce breuvage en débarbouillant certains, pendant que d’autre en profitent de se ruent avec avidité, malgré le ventre bien ballonné, aux tétons maternels. A l’âge de 4 semaines, ils ont un besoin encore plus grand de manger et il faut passer aux repas solides qui vont complémenter les repas au lait, soit à base de petites croquettes ou un mélange maison. Un des premiers signes du sevrage est lorsque la mère vient de se nourrir, immédiatement après elle retourne vers sa progéniture et se laisse lécher les babines pour régurgiter afin que ses petits se rassasient.

L’empreinte par l’odorat et l’ouïe: Vers l’âge de 1mois l’empreinte olfactive des chiots s’est encore développée pour déceler toutes les odeurs qui les entourent. Ils ont déjà découvert l’odeur particulière de leur mère puis celle des frères et sœurs et enfin l’odeur pourtant différente de leurs éleveurs. Alors que ces émanations ne sont pas ressemblantes, ils associent les odeurs des premiers humains (leurs éleveurs) qui depuis leur 1er jour de vie les manipulent, leur parlent, leur donnent des caresses, en les considérant comme leurs semblables (chien), donc amicaux. Si des chiots n’ont pas eu cette occasion d’empreinte sur l’homme ils considèrent que ceux-ci pourrait être un compagnon à découvrir avec du temps, ou qu’ils pourraient le craindre, ou l’ignorer ou l’agresser.

L’empreinte des sons est une nouvelle curiosité pour eux. Ils distinguent maintenant le bruit des pas de leur mère qui se déplace, les jappements des frères et sœurs et les voies de leurs éleveurs qui leur parlent, puis d’autres bruits tels que des bruits inconnus jusque là et en particulier d’appareils ménager. Pour certains sons c’est le bonheur (maman, éleveurs) et pour d’autres (l’aspirateur par exemple), à cet âge la réaction est la peur, jusqu’à ce qu’ils s’y habituent.

Découverte du nouvel habitat : Jusque là, ils ont vécus entre la caisse de mise bas qui leur servait de dortoir et un parc à chiots attenant qui leur servait d’aire de jeux. Arrivé à l’âge d’un mois, ils ont besoin de plus d’espace et c’est le transfert dans un local intérieur ou un couvert approprié (chenil), avec une sortie pour se rendre dans un parc en plein air. Ce moment est assez stressant et il est bien utile que leur mère les accompagne pour les rassurer. Tout en inspectant, tout d’abord, l’intérieur suivit de ses chiots, elle les entraîne à l’extérieur pour respirer l’air pur. Pour certains, ils hésitent à poursuivre et restent quelques instants figés au bord de la porte de sortie, pour d’autres un peu plus hardis, s’aventurent derrière elle. Afin de les stimuler elle prend souvent un de leur jouet dans sa gueule et galope tout autour du parc pour les amener à la suivre et bien vite le jeu devenant de plus en plus prenant, ils oublient leur stress. C’est aussi là, que la génitrice a un rôle très important pour l’éducation et la socialisation de ses chiots.

La socialisation : En général les chiots ont reçu une certaine socialisation à l’élevage, ne serait-ce tout d’abord, par de nombreuses manipulations des éleveurs, les rencontres fréquentes avec les autres chiens vivant sous le même toit, puis les entrevues avec tous les clients lors de leurs nombreuses visites. À 2 mois ½ lorsqu’ils vont arriver dans leur famille d’adoption ils vont continuer à se socialiser avec tous les membres, petits et grands, amis et connaissances et peut être avec d’autres animaux afin de vivre en bonne harmonie. La hiérarchie doit être respectée alors que le chiot, nouveau venu, pourrait prendre plus d’importance causée par son jeune âge et un peu plus d’attention.

Il est conseillé pour continuer à une bonne socialisation, de les mettre en contact avec leurs congénères au plus tôt (école de socialisation canine pour chiots), de leur faire rencontrer le plus de gens possible (hall de gare, restaurant, terrain de foot) et de les mettre dans des situations courantes de notre civilisation (chantier, quai de gare, route à grand trafic). Du fait de leur jeune âge et de leur allant spontané, ils auront un plaisir fou d’être « copain, copain » avec tout le monde, quant aux bruits ce sera le meilleur moyen qu’ils prennent de l’assurance. Malgré une bonne socialisation, cela n’empêchera pas avec les mâles, au moment où leurs hormones travailleront, une certaine confrontation parfois pour tester le plus fort, mais un chien qui aura été bien socialisé, évitera de se mettre en colère avec tout ce qui se trouvera sur son chemin.

L’éducation : Dès que les chiots deviennent de plus en plus indépendants, les premiers rudiments d’éducation se font par leur mère qui les tient en respect vis-à-vis d’elle en les grondant ou en les pinçant et qui les éduque à des principes de politesse entre frères et sœurs à l’intérieur du groupe. Dans les jeux où il y a un peu d’exagération et où le ton monte, elle se met entre deux et remet en place celui ou ceux qui doivent être sermonnés. Elle règle énormément de problèmes de chien pour autant qu’elle reste le plus longtemps possible avec ses chiots. De même ils apprennent à respecter leurs éleveurs qui agissent d’une façon ferme à leur toupet ou leur débordement en leur enseignant ce que veut dire « non » dans le langage humain, un des premiers mots qui entre dès le début dans leur éducation. A cet âge ils ne savent pas faire la différence entre le bien et le mal, le bon et le mauvais et c’est par leurs supérieurs hiérarchiques (mère, éleveurs) que débute leur éducation. Ce sera, par la suite à leur futur propriétaire de prendre le relais en allant dans une école d’éducation canine.

Départ de l’élevage : Le chiot ayant atteint l’âge de quitter son lieu de naissance va encore affronter de nouvelles épreuves. La séparation de sa mère, ses frères et sœurs ainsi que ses éleveurs et s’adapter à sa nouvelle vie. Il est donc primordial qu’il continue à recevoir une bonne socialisation et une bonne éducation afin qu’il devienne un compagnon agréable de tous les instants dans sa famille d’adoption.

Lorsque l’on a compris par où est passé le chiot pour survivre, sa dignité est de lui donner le maximum parce qu’il le vaut bien.

Sylvia Küng

Voici mon site s’il y a des gens intéressés.

www.gordonsetterblackbeauty.com

J’espère que les personnes qui se sentent visés ne m’en voudront pas trop car je désire seulement les aider et leur apporter mes expériences personnelles sans aucune fierté ni gloire.

mardi 26 janvier 2010

Fin janvier 2010

La neige est toujours là ! La couche de fond est glacée et elle fond petit à petit, mais dans la nuit la neige revient poser un nouveau manteau. Puis dans la journée, à certains endroits le terrain est visible et dans d’autres encore sous la neige.

Les Chamois sont revenus car à cette altitude (750 mètres), il leur suffit de gratter dans la neige et de faire apparaître les jeunes pousses d’herbe, tandis que plus haut c’est trop glacé.

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Puis vient la sortie des fifilles et maman Dame Aïcha.

Voici Aïcha les 2 pattes avant dans la fontaire. Pourquoi ?



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Pour se tremper les oreilles dans la neige
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Et Demoiselle Pearl croquant dans son Kong
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Le trio sous le charme de papa qui tient un jouet
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Attention, c'est parti !
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Dame Aïcha au down et Blue assise
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Ca va partir ou quoi ?
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Dame Aïcha au coulé sur sa fille Pearl, tandis qu'elle coule sur un moineau
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À nouveau Dame Aïcha avec Blue aux aguets sur le jouet que tient papa
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Blue seule observant sa mère et sa soeur
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Elle n'a pas un moindre flocon de neige sur le corps, sauf un gros morceaux qui pend sous le ventre coincé par les poils
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Pearl seule guettant, je ne sais quoi elle aussi ?
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Action des ressorts sous les pattes et c'est le saut dans la plate bande
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Pendant ce temps les chevaux de ma voisine se délectent de petites pousses d'herbe sous la neige, comme les Chamois
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lundi 25 janvier 2010

Dimanche sous un paysage gelé

Au petit matin gelé sur tout le paysage, une vue qui ne change pas depuis plusieurs semaines.
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Sous le coup de 10h00 visite du troupeau de chamois dans le pré à côté de chez-nous.

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Ils sont trop drôles alors que les adultes broutent et sont aux aguets les jeunes broutent aussi et jouent comme des fous ce qui fait qu’ils s’approchent de plus en plus de notre habitation.
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Dans l’après-midi c’est nos fifilles qui font les folles en jouant à la compétition du plus fort.

Dame Aïcha la première à montrer sa force avec sa fille Blue

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Pauvre Blue ! Dès que sa mère se penche sur elle, elle se soumet immédiatement
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Puis sa soeur, Pearl, en profite pour faire un petit contrôle zizi
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Là c'est le point de mire sur la table de jardin en pierre
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Pour finir en une grande partie de jeu entre soeurette
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jeudi 21 janvier 2010

Brossage de poils dans la neige

Déjà depuis l’âge de 2 ans Aïcha prenait un grand plaisir à se rouler dans la neige. Elle tombait sur un flanc, poussait avec ses pattes avant et glissait sur un côté, puis elle se tournait sur le dos pour retomber sur l’autre flanc en faisant de même. Parfois elle commençait par enfoncer la tête, puis l’épaule et enfin elle laissait tomber le reste. Ce brossage pouvait durer une bonne minute et plusieurs fois dans la ballade avec des petits gémissements de plaisir.

Charles a surnommé cette façon de faire "le Picus" et dès qu'il disait ce mot Aïcha tombait dans la neige pour se frotter.

À son âge aujourd’hui, Dame Aïcha le fait toujours. Regardez un peu !

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Sa fille Blue Bell fait la même chose qu’elle depuis déjà l’hiver dernier, par contre Pearl elle ne le fait pas.

Voici fifille Blue dans toutes ses contorsions

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Comme c’est drôle, car Aïcha a été la seule à faire ce genre d’exercice de tous les chiens que j’ai eu dans ma vie. Quoique j’ai eu un mâle « Yanou » qui lui se frottait uniquement sous le ventre. Il se couchait comme au down et avec les pattes avant il se tirait en glissant en avant.

Au moment ou j'ai pris ces photos il était 16h00, le ciel était bleu et le solail luisait.
Vu du ciel au-dessus de notre maison
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Vers 17h30 le brouillard arrivait et il effaçait ce beau paysage.
On dirait prèsque l'apocalypse
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